14 mai 2010, 0h00
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Or, même le parti de Hans-Rudolf Merz déplore que le Conseil fédéral ait cédé en partie à une proposition «mal ficelée» sur les rémunérations, destinée à faciliter le passage au Parlement, en juin, de l’accord avec les Etats-Unis relatif à UBS. «Nous n’entendons pas céder au chantage de la gauche», déclare la conseillère nationale Martine Brunschwig-Graf (PLR/GE). Les libéraux-radicaux veulent approuver l’accord, «mais pas à n’importe quel prix». Les mesures que le gouvernement a commencé à plan...
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