06 mars 2001, 0h00
Partager
Que l’activité économique américaine ralentisse ou que le climat des affaires en Allemagne s’améliore, rien n’y fait: le «potentiel d’appréciation» de l’euro tant vanté par les responsables de la Banque centrale européenne (BCE) tarde à se matérialiser sur le marché des changes. L’euro reste structurellement faible par rapport au dollar. Il est vrai que le succès ou l’échec international d’une monnaie ne se mesure pas à l’aune de son taux de change, par définition volatil, mais en fonction de sa...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT