02 août 2006, 0h00
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«Il vaut mieux un moineau sur la main qu’un pigeon sur le toit»: c’est avec cette image, utilisée en allemand pour signifier qu’il vaut mieux se contenter de ce que l’on a plutôt que vouloir l’irréaliste, que le rédacteur en chef de la NZZ Markus Spillmann a analysé lundi dans un grand éditorial les relations de la Suisse avec l’Union européenne. La Suisse faisant rarement la Une de l’influent quotidien zurichois, le commentaire, publié à l’occasion du 1er août, était doté d’une visibilité parti...
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