01 mars 2010, 0h00
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L’eau chaude est chaude, a rappelé en substance Hans-Rudolf Merz, jeudi. En déclarant que le Conseil fédéral devait trouver des solutions «pour éviter que de nouveaux avoirs non déclarés affluent vers la Suisse», le ministre des Finances n’a rien avancé de sensationnel ni de fracassant. Les réactions qui ont suivi son intervention pouvaient pourtant laisser croire l’inverse, que le conseiller fédéral s’était prononcé en faveur d’une nouvelle orientation pour la place financière suisse ou qu’il...
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