21 novembre 2006, 0h00
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Le plus curieux, dans les déclarations qu’a faites Henry Kissinger dimanche sur la nécessité d’organiser une conférence internationale sur l’Irak, est l’alternative qu’il a ensuite proposée sur l’Iran. Soit, a-t-il dit, ce dernier pays est une nation comme les autres, soit c’est un croisé et, dans ce dernier cas, «une sorte de confrontation se produira». Mais comment, après l’appel au génocide du président iranien Ahmadinejad, Kissinger peut-il envisager une telle alternative? Depuis 1945, l’Ira...
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