08 décembre 2005, 0h00
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Dans une version onusienne du théâtre de l’absurde, les envoyés du secrétariat général de l’ONU ont dansé tout le week-end passé et en vain autour de l’appartement new-yorkais de Carina Perelli, cheffe intrépide de la division d’assistance électorale qui a organisé avec succès des élections en Afghanistan et en Irak. La porte était fermée, et ils avaient besoin de sa signature sur la lettre qu’ils lui apportaient: la décision du secrétaire général Kofi Annan de la sacquer immédiatement. Motif: m...
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