19 avril 2001, 0h00
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Le contexte dans lequel les entreprises luttent pour survivre et prospérer s’est considérablement modifié. Le rythme des conversions, des restructurations ou des concentrations n’est pas prêt de décroître. L’organisation paraît dès lors bancale, voire naïve, et la hiérarchie, toujours décalée et trop rigide. En fait, nous manquons d’idées neuves pour affronter les enjeux actuels. Nous vivons plus une crise de sens qu’une crise économique. Nous continuons à pratiquer un mode de pensée qui avait f...
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