23 janvier 2008, 0h00
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Avec la question du taux de rendement minimum appliqué aux avoirs de prévoyance, celle du taux de conversion des rentes est l’une des plus récurrentes dans le débat sur la prévoyance professionnelle (LPP). «Si le taux de conversion est trop élevé, l’institution de prévoyance enregistre une perte qui doit être supportée par les assurés actifs» déplore Adrian Gröbli, le responsable des assurances de personnes auprès de l’Association suisse d’assurances (ASA). Or le 22 novembre 2006, le Conseil féd...
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