10 juin 2005, 0h00
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«On se retrouvera à Philippes*», s’écriait Christoph Blocher le 15 décembre 1999 à l’adresse du Parlement qui avait refusé, à une majorité écrasante, de le voir accéder au gouvernement. Ce qui signifie: «A l’avenir, il faudra faire vos comptes avec moi.» Quatre ans plus tard, Blocher était au rendez-vous de Philippes et devenait conseiller fédéral. A peine élu, il définissait ainsi la politique de concordance à laquelle il allait devoir s’astreindre: «Pour moi, c’est justement la possibilité pou...
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