25 septembre 2000, 0h00
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Eh bien, ç’aurait pu être pire. Il ne se trouve finalement «que» un Suisse sur trois pour prétendre régler la question de la présence étrangère par une limitation aveugle et dénuée de signification. Le jour même où Neuchâtel accepte à une écrasante majorité une nouvelle Constitution qui accorde le droit de vote aux étrangers titulaires d’un permis C, il eût été fâcheux, paradoxal que le pays envoie un signal négatif à l’endroit des ressortissants du «troisième cercle», celui des extracommunautai...
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