29 avril 2009, 0h00
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Etienne Weber*
La mauvaise presse sur les produits structurés persiste, souvent issue d’une confusion de genre. En effet, la multitude de structures différentes rendent souvent incomparables les produits détenus par des fonds ou de grosses sociétés d’asset management, à l’image des positions prétendument à la base des difficultés supposées de SGAM (MBS, CDO’s etc, article de Libération du 26 avril). Ces échafaudages financiers, désormais communément appelés actifs toxiques, ne sont sans rappo...
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