23 septembre 2008, 0h00
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L’argument le plus fréquent pour justifier la nécessité de combattre le réchauffement climatique semble imparable et presque tous les dirigeants politiques y ont recours, pourtant il relève presque de l’escroquerie. Il est fondé sur la comparaison entre le coût de l’action et celui de l’inaction. Ainsi, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, l’a employé cette année lorsqu’il a présenté le programme de l’UE pour faire face au réchauffement climatique. L’UE s’est engagée à ...
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