04 juin 2008, 0h00
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«La croissance américaine sera faible au deuxième trimestre, mais elle repartira ensuite». Il aura suffi du discours de Ben Bernanke, gouverneur de la Fed, pour faire rebondir les bourses européennes hier. L’inquiétude du grand argentier à propos de la faiblesse du dollar et de ses effets inflationnistes n’a pas été relevée par les investisseurs, qui ont préféré se concentrer sur les bonnes nouvelles venant de l’industrie d’outre- Atlantique. L’indice ISM est en effet remonté à 49,6 en mai, co...
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