06 décembre 2001, 0h00
Partager
Rainer E. Gut n’a pas de diplôme universitaire même s’il mériterait d’être honoré pour sa gestion des catastrophes. Cette fois, à la tête du comité de pilotage du projet Phœnix, il s’est retrouvé dans un rôle inhabituel, celui du sauveteur qui gère un drame dont il doit assumer une part de responsabilité. Il était, en effet, membre du conseil d’administration de Swissair pendant deux lourdes décennies, celles d’Alcazar, de Bruggisser, de Sabena.
Auparavant, sa carrière s’était toujours bâtie sur...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT