16 juillet 2008, 0h00
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Du temps de sa splendeur, tout ce qui comptait tant soit peu en Suisse se sentait plus ou moins proche des radicaux. C’était il y a une éternité. A force d’endosser les revers et de voir, inexorablement sa représentation parlementaire fondre, le «Grand Vieux Parti» ne pouvait plus que se prévaloir du deuxième qualificatif. Victime d’une globalisation qu’ils n’avaient alors pas vraiment su accompagner au tournant du millénaire, le président Pelli et ses troupes n’avaient guère d’autre choix. Le m...
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