28 novembre 2006, 0h00
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Il y a des jours où l’on se sent pousser le torse et monter une voix de baryton, tout rassuré de constater que la réalité est toujours plus forte que l’adversité. Parce que nous, mâles de tout poil, on a senti le vent du boulet. ça a bien failli être la débandade. Mais nous ne sommes pas restés marris face à la montée du féminisme, aux contresens de l’écriture épicène et à l’apathie d’une société où toutes les inégalités seraient passées à la crème dépilatoire. Les hommes ont résolument su conse...
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