11 février 2010, 0h00
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Les gouvernements de plusieurs pays ont annoncé, ces dernières semaines, de nouvelles taxes sur les activités bancaires. La France, le Royaume Uni, les Etats-Unis crient d’une même voix haro sur le baudet avec dans le rôle du baudet-bouc émissaire, les banques. Car il s’agit de faire expier la faute, la responsabilité de la crise due à la folie spéculatrice, à l’avidité sans fond des banquiers et des traders. Sortis par miracle, et par l’action publique, d’une déroute planétaire, ces derniers so...
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