16 novembre 2004, 0h00
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Le 24 août dernier, trois juges, un Vaudois, un Genevois, un Neuchâtelois, se réunissaient discrètement à Sion. Ils étaient chargés d’arbitrer une affaire éminemment compliquée, comme seul le Valais en a le secret. Leur verdict devrait tomber prochainement. L’impatience est de mise car l’enjeu est le déblocage d’une procédure qui dure depuis près de trois ans, la vente d’une part de 4,5% que le géant lémanique Edipresse détient dans le capital du Nouvelliste. Une affaire emblématique de la guerr...
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