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Qui a peur du grand krach obligataire?

La fin du rally ne fait pas disparaître les contraintes. Et correction ne signifie pas plongeon.

04 mars 2005, 0h00
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«Les obligations ne sont pas attractives», répète Andrew Bosomworth. Venant de la part d’un des gérant du plus grand fonds obligataire au monde, l’américain Pimco, l’affirmation laisse songeur. Remise dans son contexte, elle répond à la question de savoir si le récent rebond des T bonds et du Bund à dix ans est un sursaut où le début d’un mouvement durable. Andrew Bosomworth, qui gère le fonds obligataire européen de Pimco depuis Munich, explique que la remontée des taux longs sera probablement...
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