13 juin 2003, 0h00
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L’émission de titres par Lafarge a plusieurs traits qui rappellent les mauvais jours de la fin des années 90. Le groupe français du ciment a donné de bien pauvres raisons pour justifier son besoin de 1.3 milliards d’euros en cash. On ne voit pas d’acquisitions. Quant au bilan, même s’il est en position délicate, il n’a pas besoin d’être assaini.
Le nouveau CEO de Lafarge, Bernard Kasriel, a fait quelques vagues commentaires concernant de petites et moyennes acquisitions. En réalité, il ne fait ...
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