28 mai 2008, 0h00
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La poursuite des tensions pétrolières constitue un facteur a priori plutôt favorable pour les obligations en raison des anticipations à la baisse en termes de croissance et de politique monétaire aux États-Unis, sachant que l’impact proprement inflationniste du choc est structurellement limité. N’oublions pas que la Fed s’appuie plus sur l’inflation sous-jacente américaine que sur l’inflation headline. La dynamique des flux des pays exportateurs permet aussi aux taux longs nominaux de rester à u...
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