22 juin 2001, 0h00
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Le projet d’Euronext de lever entre 693 et 780 millions d’euros lors de son introduction en bourse le 6 juillet est prudemment accueilli par des analystes, qui s’interrogent sur la nécessité d’une injection de fonds alors que les marchés européens ont écarté l’idée de fusions jugées difficiles et chères.
La tendance à privilégier des alliances technologiques a émergé après l’échec de Deutsche Boerse puis d’OM Gruppen dans leurs tentatives de fusionner avec le London Stock Exchange à l’automne de...
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