04 mars 2010, 0h00
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Dans le monde entier, le secteur économique qui souffre le plus est bien le secteur primaire, justement appelé ainsi car il nous fournit la base: de quoi manger tous les jours. Et pas seulement: du coton pour nous vêtir, des agrocarburants (pas trop!) pour nous véhiculer.
Comment expliquer ce paradoxe? Une vision technocratique a pensé que la rationalisation de l’agriculture allait un jour laisser un secteur «modernisé» durablement viable. Or cette rationalisation n’a pas de fin. Chaque décenni...
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