16 janvier 2004, 0h00
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La société postsoviétique est impitoyable avec la démocratie chrétienne. Mortellement blessée par les juges brigadistes en Italie, bientôt interdite de palais nationaux et infréquentable en France au nom de l’athéisme d’Etat, elle semble également depuis peu abandonnée par ses électeurs en Suisse. Mais ce qui est plus grave encore, c’est que certains de ses apparatchiks – par incompétence, sottise ou carriérisme – concèdent sotto voce que leur mission «historique» d’accompagner les chrétiens sur...
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