23 décembre 2003, 0h00
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Une attaque prometteuse, une évolution en bouche décevante, mais une finale étonnamment corsée. Le millésime obligataire 2003 ne restera pas dans les annales. Le bilan n’est pourtant pas catastrophique; à défaut de performance éblouissante, les investisseurs en obligations n’ont rien perdu. En retrait du marché des actions, les marchés obligataires ont généralement fait mieux que les placements monétaires.
L’année 2003 s’achève par une détente généralisée des rendements. A 4,18%, le rendement d...
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