27 février 2009, 0h00
Partager
L’histoire nous l’enseigne: les turbulences conjoncturelles donnent des ailes aux moins hardis des plumitifs, éveillent la verve poétique des saltimbanques de l’écriture, illuminent la prose des épistoliers les plus inhibés. Tout comme Patrick Juvet n’aurait rien été sans le premier choc pétrolier, les groupes Kyo et Tokio Hotel doivent tout à l’éclatement de la bulle spéculative japonaise. Aujourd’hui, votre journal favori se réjouit d’observer que les tumultes qu’il relate jour après jour ont ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT