31 août 2009, 0h00
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On a long temps déclaré que la mousson était «le second ministre des finances» de l’Inde, tant ses effets positifs ou négatifs influençaient l’économie. Aujourd’hui, le pays a beau être moins vulnérable grâce aux progrès de l’agriculture et des autres secteurs, la première assure encore l’emploi de 52% de la main d’œuvre totale, dont une partie est durement touchée par la sécheresse. L’hostilité du ciel ne va pas conduire à la famine car le gouvernement détient de gros stocks de blé et de riz. N...
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