18 juillet 2006, 0h00
Partager
Alors que la situation macroéconomique paraît peu propice aux obligations, des événements sans liens immédiats avec la conjoncture ont brutalement renversé la tendance sur le marché des capitaux. La semaine écoulée est une bonne illustration de ces phases durant lesquelles les développements macroéconomiques sont relégués - pour quelques temps - à l’arrière plan. Echappant à l’influence des «fondamentaux économiques», les obligations gouvernementales se trouvent portées par un mouvement de «fuit...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT