17 octobre 2008, 0h00
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S’il est un domaine où l’on s’aventure aujourd’hui sur la pointe des pieds, c’est bien celui de l’immobilier. Traditionnellement, la gestion du risque y était plus facile que dans d’autres types d’investissement puisqu’en prêtant de l’argent, à un particulier ou à un institutionnel, on le faisait sur la base d’un sous-jacent. Et puis est venue la crise des «suprimes» portant, précisément, sur l’immobilier, crise dont la gravité est probablement due au fait que la gestion du risque, dans ce domai...
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