01 juin 2006, 0h00
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Le gouvernement de Romano Prodi est pressé par la Commission européenne et par la Banque d’Italie de stopper au plus vite la dérive des comptes publics de la péninsule, mais l’opération s’annonce douloureuse. Le commissaire européen aux Affaires économiques, Joaquin Almunia, a laissé peu de place à l’hypothèse d’un délai supplémentaire d’un an à 2008 pour permettre à l’Italie de ramener son déficit budgétaire sous les 3% du PIB.
Explosion des dépenses de santé
«Nous demandons simplement l’appl...
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