26 mai 2008, 0h00
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Le patron des CFF, Andreas Meyer, considère une privatisation partielle de l’ex-régie comme «possible théoriquement». Il s’agit d’une des trois options envisageables pour financer le développement de l’infrastructure ferroviaire. Un autre scénario serait que la Confédération et les cantons mettent le capital nécessaire à disposition. Troisième variante: une hausse des prix des billets de train. Dans une interview parue dimanche dans la SonntagsZeitung, M. Meyer évalue la facture globale à plus d...
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