07 juillet 2000, 0h00
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Ces retardataires restaient entre les mains de l’Etat de leur pays respectif, dans des contextes politiques différents mais souvent pour des raisons similaires, sociales et/ou économiques, que ce soit en Pologne, en Suède ou en Norvège.
Ainsi l’accélération des mutations et la perpective d’une réelle internationalisation de l’industrie dominée par l’attribution des licences de troisième génération de mobile (UMTS ou IMT 2000), relancent la procédure des privatisations télécoms amorcée, faut-il l...
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