04 octobre 2010, 0h00
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«Faute de grives on mange des merles»; voici ce dont les investisseurs devront se contenter en attendant que les maîtres queux occupés aux fourneaux économiques nous concoctent autre chose que cette tambouille où flottent ces tièdes constatations:l «les rendements obligataires sont tellement insipides que nous ferions aussi bien de tâter du marché boursier»;l «les rendements courts sont si maigres qu'il vaut mieux jeter son dévolu sur la partie longue émise par des sociétés privées»;l et dans la...
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