24 février 2012, 0h00
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A l'unisson, les dirigeants nationaux européens, les technocrates de haut rang en place à Bruxelles comme les instances du FMI n'ont de cesse de clamer qu'ils n'abandonneront pas la Grèce à son sort. Pourtant, un pays – l'Allemagne – se prépare calmement et discrètement au défaut grec. Un schisme existe certes au sein du gouvernement allemand entre les tenants du maintien grec dans la zone Euro comme la Chancelière Merkel et entre les partisans du défaut de ce pays comme son Ministre...
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