26 mai 2010, 0h00
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Les banques sont confrontées à un renforcement massif de la régulation, payant ainsi le prix d’une gestion du risque défaillante, qui a causé à une perte globale de 1,5 billion de dollars depuis la mi-2007. Les moins bonnes devront encore augmenter leur capital, ce qui semble à peine possible sans aide de l’Etat ou restructuration des dettes. Les banques devront répondre en 2010 à un besoin plus important d’amortissement de crédits et faire face à une adaptation du jugement des agences de rat...
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