28 octobre 2005, 0h00
Partager
«Le Matin bleu» déboule lundi. C’est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Commençons par la mauvaise: toute la corporation des journalistes éprouve un épouvantable crève-cœur à l’idée que l’énorme travail d’une équipe de professionnels, qui se déroule chaque jour et dix-huit heures par jour, puisse être considéré par ses destinataires à l’instar d’un tract, d’un prospectus publicitaire, à l’image de ces cahiers sur papier glacé encartés dans nos quotidiens habituels qui vantent les prix...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT