27 août 2014, 22h59
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Le débat politique précédant le vote populaire de mai dernier sur un salaire minimal en Suisse faisait ressortir sans surprise le traditionnel partenariat social comme alternative. En d’autres termes, le régime des conventions collectives sectorielles de travail (CCT), à l’échelle d’entreprises, des cantons ou de la Confédération, comprenant en général des planchers salariaux. Elles sont au nombre de 600 environ en Suisse et couvrent un peu plus de 50% des salariés, avec force obligatoire lorsqu...
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