15 juillet 2004, 0h00
Partager
Les services secrets britanniques ont commis de graves erreurs dans leur analyse de l’arsenal d’armes de destruction massive (ADM) de l’Irak avant l’entrée en guerre, mais le Premier ministre Tony Blair n’est pas responsable de ces défaillances, a conclu mercredi un rapport indépendant.
Les conclusions d’une commission multipartite présidée par Lord (Robin) Butler sont sévères pour le renseignement britannique, sans toutefois être aussi accablantes que celles du récent rapport du Sénat américai...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT