23 novembre 2004, 0h00
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Tout d’abord parce que la recherche, c’est le progrès et c’est l’espoir. L’espoir des malades qui militent. Et pas seulement ceux qui viennent avec beaucoup d’élégance sur le plateau de télévision d’«Infrarouge», en chaise roulante, pour s’entendre dire par une conseillère nationale Verte qu’ils ne représentent pas une priorité face à toutes ces maladies que l’on pourrait prévenir en menant une vie meilleure, mais aussi les 10.000 personnes atteintes de maladie de Parkinson en Suisse, tous les m...
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