23 mars 2005, 0h00
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S’il y a des phénomènes d’engouement pour tel ou tel segment de l’allocation d’actifs, on peut supposer qu’ils ont tous une cause. L’immobilier apparaissait autrefois comme un actif «par défaut» et non comme un placement stratégique, comme une catégorie d’investissement supposée intégrer deux vertus au moins: la préservation du capital contre l’inflation et un rendement corrélé aux coûts de l’argent.
Nous regarderons ici, sur une vingtaine d’années, l’évolution du «couple» inflation-taux d’inté...
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