22 avril 2009, 0h00
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Rira bien qui rira le dernier. «Pendant des années, les journalistes m’appelaient pour me demander pourquoi les banques suisses n’investissaient pas plus massivement en Europe de l’Est qui était supposée être le marché du futur. Aujourd’hui, je suis content et heureux que nous n’y ne soyons pas allés quand je vois les problèmes de certains établissements.» Thomas Sutter, le porte-parole de l’Association suisse des banquiers (ASB), s’en tire avec une jolie pirouette. La timide présence des groupe...
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