25 mai 2009, 0h00
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Personne n’osera le dire aussi crûment, mais presque aucune banque n’en veut. Persona non grata, les clients américains le sont devenus après le traumatisme d’UBS, forcée à reveler une liste de clients en février dernier à la demande des autorités de Washington. Mais également parce que les clients, même déclarés, posent un nombre incalculable de contraintes aux banques suisses en termes de réglementation. En outre, l’investissement est aussi plus complexe, car tous les produits n’ont pas leur...
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