16 novembre 2009, 0h00
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edgar bloch
«Depuis quatre à cinq semaines l’administration fédérale est convaincue par le projet Rubik. C’est la piste qu’elle privilégie», s’enthousiasmait l’autre soir, lors d’un dîner avec la presse, Patrick Odier, président de l’Association suisse des banquiers (ASB).
Merz est également acquis à l’idée. Le Conseil fédéral lui a délivré un mandat pour approfondir cette question, dans le cadre du dossier sur la fiscalité de l’épargne, en pleine renégociation avec Bruxelles. «Je suis convai...
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