09 février 2016, 23h09
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A un peu plus de deux semaines du vote populaire pour ou contre l’interdiction de la spéculation sur les denrées alimentaires (28 février), une tendance malheureuse se dessine dans le débat. Elle consiste à reconnaître, au nom de ce qui est considéré comme une évidence, que le négoce de dérivés a une influence significative sur le prix des denrées. Il faudrait néanmoins rejeter l’initiative, parce qu’une interdiction en Suisse seulement n’empêcherait pas l’activité spéculative d’affamer des ...
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