12 septembre 2005, 0h00
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On ne peut douter qu’il s’agit d’une pure coïncidence. En effet, il est inimaginable que le chef de l’Etat syrien se réjouisse de la victoire d’Hosni Moubarak parce qu’il entretient les mêmes convictions et espoirs pour le Proche-Orient que Javier Solana. Cela dit, certaines coïncidences laissent songeur. Comment expliquer que les chaleureuses félicitations de Bachir al-Assad soient aussi exprimées par le responsable de la politique étrangère de l’UE? Comment expliquer que l’Europe, par la voie ...
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