23 juin 2000, 0h00
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Les votations fédérales du 24 septembre ne compteront pas moins de cinq objets, dont trois concernent la fiscalité écologique. A trois mois de l’échéance, cette matière semble encore confuse pour de nombreuses personnes.
Elle se résume en fait à la volonté de taxer les énergies non renouvelables (pétrole, gaz, charbon, uranium), dans un premier temps par une taxe modérée et provisoire, puis par une taxe plus lourde inscrite dans la Constitution. La complication vient de ce que la première étape ...
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