20 décembre 2011, 0h00
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Très politique et médiatisée depuis des mois en France, l'affaire dite «de Karachi»; porte sur des rétro-commissions importantes qui n'auraient pas toutes été payées à des fonctionnaires pakistanais lors d'une vente d'armement (d'où l'attentat de Karachi en 2002, avec onze morts de nationalité française). A chaque nouvel épisode, il est rappelé que des centaines de millions de francs (français) de commissions indues (de purs pots-de-vin), avaient transité dans des établissements suisses. L'Agefi...
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