11 octobre 2005, 0h00
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Avec la nomination d’Angela Merkel au poste de chancelier, le géant allemand accouche, comme prévu, d’un avorton politique. Trois semaines d’âpres négociations pour désigner un chancelier entre deux grands partis disposant chacun d’à peine plus d’un tiers des voix ne constituent pas un commencement de solution. La Bourse allemande n’a d’ailleurs presque pas bougé et les investisseurs sur devises misent prudemment sur le dollar plutôt que sur un euro au destin vacillant. La raison de ce manque d’...
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