19 juillet 2005, 0h00
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J’aime mon parti, le Parti radical-démocratique (PRD). J’aime son essence révolutionnaire, ses atours centralistes, ses relents anticléricaux. J’aime sa veine populiste à la Fazy, son attachement social à la Favon, sa préoccupation institutionnelle à la Carteret et son sens de l’Etat incarné aujourd’hui par les Couchepin, Bender et autres Longchamp.
J’aime aussi le libéralisme à la suisse. J’aime son approche fédéraliste des équilibres de notre pays un rien surannée, son élitisme si éloigné de ...
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