18 février 2000, 0h00
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Dans bien des domaines, être anticyclique se révèle payant. Acheter des skis en été, un appartement en pleine crise de l’immobilier, etc. Cette tactique s’applique également aux voitures découvertes d’occasion. Dès les premiers rayons de soleil, lorsque la température remonte, le déclic se produit dans l’esprit des amateurs. Il est déjà trop tard pour faire une bonne affaire. D’octobre à mars par contre la demande baisse parallèlement avec l’utilité d’une voiture découverte. Les vendeurs d’occas...
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